Слова: Raymond Asso.
Музыка: Marguerite Monnot
Mon Légionnaire | Mi Legionario |
Il avait de grands yeux très clairs Où parfois passaient des éclairs Comme au ciel passent des orages. Il était plein de tatouages Que j'ai jamais très bien compris. Son cou portait : « pas vu, pas pris » Sur son cœur on lisait : « personne » Sur son bras droit un mot : « raisonne » Je sais pas son nom, je ne sais rien de lui Il m'a aimée toute la nuit Mon légionnaire ! Et me laissant à mon destin Il est parti dans le matin Plein de lumière ! Il était mince, il était beau Il sentait bon le sable chaud Mon légionnaire ! Y'avait du soleil sur son front Qui mettait dans ses cheveux blonds De la lumière ! Bonheur perdu, bonheur enfui Toujours je pense à cette nuit Et l'envie de sa peau me ronge. Parfois je pleure et puis je songe Que lorsqu'il était sur mon cœur J'aurais dû crier mon bonheur. Mais je n'ai rien osé lui dire. J'avais peur de le voir sourire ! Couplets 2-5 On l'a trouvé dans le désert Il avait ses beaux yeux ouverts Dans le ciel passaient des nuages. Il a montré ses tatouages En souriant et il a dit Montrant son cou : « pas vu, pas pris » Montrant son cœur : « ici personne » Il ne savait pas… Je lui pardonne Je rêvais pourtant que le destin Me ramènerait un beau matin Mon légionnaire ! Qu'on s'en irait loin tous les deux Dans quelque pays merveilleux Plein de lumière ! Il était mince, il était beau On l'a mis sous le sable chaud Mon légionnaire ! Y'avait du soleil sur son front Qui mettait dans ses cheveux blonds De la lumière ! |
Tenía grandes ojos muy claros En los que a veces habían relámpagos Como en el cielo hay tormentas. Estaba lleno de tatuajes Que nunca comprendí muy bien. En su cuello llevaba: «No visto, no capturado» Sobre su corazón se leía: «Nadie» Sobre su brazo derecho una palabra: «Razón» No sé su nombre, no sé nada de él Me amó toda la noche Mi legionario! Y dejándome a mi propia suerte Partió por la mañana Lleno de luz! Era delgado, era bello Sentaba bien la arena caliente Mi legionario! Había el sol sobre la frente Que le ponía luz en el cabello rubio Felicidad perdida, felicidad huída Pienso siempre en esa noche Y el deseo de su piel me corroe. A veces lloro y luego pienso Que cuando le sujetaba contra mi corazón Debería haber gritado mi felicidad. Pero no me atreví a decirle nada. Tenía miedo de verle sonreir! Estrofas 2-5 Lo encontraron en el desierto Con sus bonitos ojos abiertos En el cielo pasaban nubes. Mostró sus tatuajes Sonriendo y dijo Mostrando su cuello: «No visto, no capturado» Mostrando su corazón: «Nadie aquí» No sabía… Yo le perdono Sin embargo, soñé con que el destino Me devolvería una hermosa mañana Mi legionario! Que nos iríamos lejos los dos Por algún país maravilloso Lleno de luz! Era delgado, era bello Lo pusieron bajo la arena caliente Mi legionario! Había el sol sobre la frente Que le ponía luz en el cabello rubio |